Réfugiés syriens : Émotion, partage et le gage d’un avenir meilleur.
Avant que les hommes ne deviennent fou, Mohamed avait une entreprise familiale très prospère. Il travaillait avec ses frères. C’étaient des artisans d’art spécialisés dans la poterie. La vie était si belle et si douce. Le dimanche, c’était les repas de famille, la joie d’être tous ensemble. Les petits enfants qui courent et qui crient. Les deux filles appliquées qui font des études supérieures pour devenir enseignante et ce fils chéri qui vogue vers son destin tragique…