Marie Caroline Tempesta débute sa campagne auprès de ses militants.

De gauche à droite Sébastien Vincini premier secrétaire départemental, Marie Caroline Tempesta, candidate, Rémi Ramond, directeur de campagne.
De gauche à droite Sébastien Vincini premier secrétaire départemental, Marie Caroline Tempesta, candidate, Rémi Ramond, directeur de campagne.

Une ambiance chaleureuse loin des tumultes parisiens.

 

C’est dans la salle des mariages de la mairie de Saint Sulpice sur Lèze que Marie Caroline Tempesta, candidate du parti socialiste pour la 7° circonscription, avait donné rendez-vous aux militants venus en nombre. Un lieu symbolique où l’on se fait des promesses et où l’on prend des engagements. Un mariage d’amour qui exclut par la même un mariage de raison.

Loin des turpides mondaines de la vie parisienne, du bal des égos de quelques ténors en mal de reconnaissance ou de la valse, non pas de Vienne, mais de quelques élus qui hésitent pour des motifs pas toujours louables, les militants du parti socialiste de la 7° circonscription ne font qu’un derrière leur candidate.

C’est le premier secrétaire départemental Sébastien Vincini et le directeur de campagne Rémi Ramond qui accueillaient toute la famille socialiste dans une salle devenue trop petite au fil des arrivées. Des mots de bienvenue chaleureux pour une assistance débordante d’énergie, de positivisme et comptant bien défendre les valeurs humanistes qu’elle porte dans ses engagements.

Appuyé par un support pédagogique multimédia, la candidate présentait la 7° circonscription aux militants et leur détaillait le déroulé de la campagne et les thèmes qui allaient être abordés durant celle-ci. La réunion se finissait par le jeu des questions réponses où chacun a pu s’exprimer et apporter sa pierre à l’édifice.

Comme il est de tradition la partie officielle faisait place à des agapes où le monde s’est refait à de multes reprises et sur toutes ses formes. Il fut question de présidentielle, de l’affaire Fillon et des tumultes de l’organisme central. Décidément tout est si simple quand on est militant de base. On se sourit, on échange, on s’invective parfois mais un verre dans une main et le toast pâté dans l’autre. C’est peut-être là que se trouve la solution ! Les égos et les différences sont laissés à l’entrée. La fraternité est préférée à la division en s’inscrivant dans une chaine qui tient compte du passé et se tourne vers un avenir qu’on espère toujours meilleur.

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