Lors de la restitution des « work-shot » et les propositions qui s’en sont dégagées, le secrétaire d’état à la transition écologique et solidaire est intervenu.
Il a souligné l’importance que le gouvernement pouvait attacher à ces réunions de réflexion et pouvait en tenir compte. « Toutes ces assises convergent et vont dans le bon sens, car ce sont des pôles de bienveillance. Le gouvernement veut agir sur l’environnement pour le bien commun des français. Comme le disait Nicolas Hulot : « c’est une chose d’éveiller les consciences, une autre de le mettre en place concrètement, (quoi, comment et combien)».
Il a mis en exergue de cette restitution le mot « accès » à la santé, à l’énergie, aux savoirs, au social. Pour lui, l’accès au numérique et les énergies renouvelables peuvent redonner des perspectives aux ruraux (réseaux de chaleur et méthanisation pour alimenter les réseaux de proximité). Il relève aussi la nécessité de mutualiser et de coopérer qui a été mise en exergue par tous les intervenants, en y associant le politique et leurs diverses compétences.
« On voit apparaitre un monde économique qui se crée autour de l’environnement où l’on ne se contente plus d’agir avec des subventions. » Peut-être peut-on relever dans ces discours une volonté commune d’agir dans un changement de la vision de la société avec une place différente des territoires ruraux. Ils peuvent devenir le centre d’un art de vivre différent.