Le système a décidé qu’il n’y avait pas de place pour tout le monde.
La machine s’est emballée et on a perdu le contrôle. Trop occupé à survivre plutôt qu’à vivre, apeuré de perdre le peu que l’on possède fusse-t-il au détriment des plus démunis, nous continuons de courber l’échine pour aller de toute façon dans le mur.