L’accident vasculaire cérébral tue ou peut laisser des séquelles irréversibles.
Agir Vite pour le Cerveau.
Tel pourrait être le mot d’ordre de la journée de l’AVC, célébrée chaque 29 octobre. L’objectif principal de cette journée est essentiellement de sensibiliser le maximum de personnes à cette grande cause de santé publique en les incitant à composer le 15 (pour la France), dès l’apparition des premiers symptômes.
Les signes avant-coureurs des AVC.
– Paralysie ou engourdissement brutaux d’un côté du corps.
– Difficultés soudaines à s’exprimer.
– Perte de l’attention.
– Diminution très brutale de la vision d’un œil.
– Céphalée brutale et inhabituelle.
– Nausées, vomissements (témoignent de HTIC).
Chaque minute compte.
Faute d’une prise en charge très rapide, les lésions peuvent devenir irréversibles.
L’ancienne ministre de la santé français, Madame Roselyne Bachelot, avait en son temps rappelé la nécessité de se mobiliser pour réduire la fréquence et la gravité des séquelles fonctionnelles des AVC.
La ministre dressait alors un état des lieux chiffré de la situation française, pour le moins alarmant : Les attaques cérébrales touchent chaque année 150.000 nouvelles personnes, se positionnant ainsi à la troisième place dans les causes de mortalité en France (la deuxième chez les femmes).
Les enfants aussi.
Dans notre inconscient collectif, les AVC touchent essentiellement les adultes et le risque s’accroit avec l’âge. Et pourtant, les enfants aussi sont concernés et on recense de nombreux cas d’AVC chez des nourrissons ou des enfants. L’association AVC de l’enfant s’est créée pour informer les parents sur la maladie, les causes connues, les séquelles et les conduites quand survient un accident vasculaire cérébral chez un enfant.
Un site à visiter : sante-medecine.commentcamarche.net
Source : journée mondiale
Crédit photo : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l-avc-chez-l-enfant-je-ne-savais-meme-pas-que-ca-existait_129037 –
AFP – PAZ PIZARRO, ALAIN BOMMENEL