Montréjeau : Déficit de jeunes au golf

De g à d : J. Gallet, J. Bordas, JC Lorenzi, JF Plard et D. Larrieu

Vendredi 25 février se tenait l’assemblée générale du golf. Si certains voyants sont aux verts, celui des jeunes adhérents clignote au rouge.

Des adhérents impliqués

Une assemblée générale où plus de 40 adhérents à l’association étaient présents (43 adhérents individuels et onze couples. Au total, près de 200 licenciés à Montréjeau), faisait plaisir au président Jean-Claude Lorenzi. « Je suis très heureux de voir autant de monde. Après les inondations que nous venons de subir, je crains désormais plus les caprices de la Garonne que le COVID (le golf est un délestage pour la Garonne NDLR). » Dans son rapport moral, le président remercie tous les bénévoles du club qui ont participé à la remise en état du golf après la crue de la Garonne (9 au 11 janvier). Ce qui a permis une réouverture le samedi 26 février.

Des adhérents venus en nombre

Les gens se sentent bien au golf

Il remercie également la mairie pour les travaux réalisés, les jardiniers de la ville, deux épouses de membres qui participent au fleurissement du lieu. Sans oublier Marie-Noëlle, secrétaire du club pour son organisation et pour la mise en place du paiement par carte. Malgré les annulations de certaines manifestations ou compétitions, le président souligne la superbe ambiance entre les participants. « Ce que j’apprécie, c’est que les gens se sentent bien. »

Jacques Gallet, adjoint à la mairie rappelle que Montréjeau est riche de sa vie associative. Il remercie tous les bénévoles qui œuvrent au sein de leurs clubs sportifs respectifs en donnant de leur temps. Il assume la fermeture du golf en décembre à cause de la première crue.

Jean-François Plard, trésorier, déroule la trésorerie qui s’avère saine et à l’équilibre. Il indique avoir, au nom du club, remis un chèque à l’organisation de 750 ans d’histoire marquant l’anniversaire de la création de Montréjeau.

Un déficit de jeunes

Jacques Bordas, assistant bénévole à l’école de golf indique un gros déficit de jeunes. « L’école de golf vivote ». Selon des dires, des Montréjeaulais ignorent la présence du golf dans la ville… (Peut-être y a-t-il un défaut de communication du club. Peut-être que les médias locaux ne sont pas suffisamment sollicités NDLR).

Jacques Bordas annonce toutefois dix-sept rencontres programmées pour cette année.

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