Après une année de travail des membres de l’association « Arts et culture en Volvestre », ce week-end du 10 et 11 juin a vu son aboutissement : le festival « Empreinte Carbonne » avec une trentaine d’auteurs.
Vendredi, en fin d’après-midi, Thierry Massonier-Rouane, président du festival , ouvrait ce week-end par ces mots : « Cette année c’est la librairie Ombres blanches qui nous accompagne avec l’agence « à mots ouverts »de Jean-Antoine Loiseau, qui ont constitué ce magnifique plateau d’autrices et d’auteurs. » Il remerciait ensuite les librairies du Volvestre présentes depuis la première édition.
Le président poursuivait : « On ne le dira jamais assez, lire fait du bien et nous éloigne de la barbarie…. Ce festival que nous avons voulu international, met à l’honneur cette année l’Italie.
Le président devait remercier les institutions régionales, départementales , la commune avec ses divers services, les associations locales qui ont animé la ville durant tout le weeh-end et les 50 bénévoles d’Empreinte Carbonne.
Il rappelait l’investissement des enseignants des établissements scolaires qui ont permis à leurs 700 élèves de recevoir et dialoguer avec certains auteurs. »
Il concluait : « Merci aux bénévoles et aux hôtes qui reçoivent les auteurs sans qui rien ne serait possible. Bon festival à tous ! »
Jean-Antoine Loiseau prenait la parole : « Merci à tous d’avoir répondu favorablement à notre invitation… aux autrices et auteurs de littérature jeunesse présents qui se sont rendus dans les écoles et collèges du territoire…en marge du festival et s’y rattachant, il vous sera présenté du cinéma, du théâtre, des concerts, une dictée noire, 3 expositions, des jeux, une murder party dans la ville et un escape game… Merci à la mairie, à Arts et culture en Volvestre, aux librairies Ombres blanches, Des livres et Délices de Cazères, Le Cours Napoléon de Noé… À tous, bon festival. »
Il restait à Denis Turrel, maire de Carbonne de conclure après les remerciements d’usage par une note plus politique : « Le service public c’est le patrimoine de ceux qui n’ont rien ».