La Journée du 22 juin une exposition dédiée au Feu de la Saint Jean « halhar », conférence à 15h,
Très belle exposition aimablement prêté par nos amis d’Eth Ostau Comenges installée dans la belle salle des fêtes de Cier de Luchon. Il y sera sujet des « Feux de la Saint Jean, » Sent Joan en Comenges. Depuis 2015 cette fête du Feu du solstice d’été est inscrite sur la Liste représentative du Patrimoine Culturel Immatériel de l’humanité de l’UNESCO (PCI*). Cette présentation imagée sera en accès libre toute la journée du samedi 22 juin, à 15 h Bernat Arrous professeur d’occitan à Tarbes viendra échanger sur nos racines, sur cette culture du feu, comment, pourquoi aujourd’hui il est essentiel de protéger ces coutumes ancestrales et le lien qui les unis : la langue.
Atelier de fabrication de halhots pour les enfants, par la Pastorala
a partir de 15h30 dans l’enceinte de la Salle des Fête, les enfants pourront apprendre à fabriquer leur halhot (petit brandon) avec leurs propres outils (marteau – ciseau a bois – scie – plane) obligatoirement accompagné d’un adulte. Ainsi chacun pourra repartir avec son halhot, en souvenir de la Hesta dera Sent Joan à Cier. Il y a quelques années les halhots, de nombreuses formes étaient confectionnées souvent par les grands pères, modèle réduit du grand brandon, ou simple manche en noisetier avec branches de genets en bouts, ou bien des écorces de bouleau, ou de cerisier, roulés et attachés a l’extrémité d’un fléau de noisetier.
Repas vers 19h30 avant l’embrasement du Brandon (Halhar) au quartier Satané « Pas dera moletta. » (entrée village) par le Comité des fêtes de Cier.
Au menu : Apéro – Tarte à la tomate – Grillades – Pommes de terres à Sarladaises – dessert – vin – le tout dans la bonne humeur pour 20€ (gratuit pour le – de 12ans)
Réservation obligatoire avant le 15 juin>>> Audrey : 06 70 62 82 18 – Animations diverses – Buvette – Musique – Cracheur de Feu – Embrasement vers 22h
(*) PCI : Le concept de Patrimoine Culturel Immatériel, notion forgée au sein de l’unesco, appréhende les expressions culturelles non comme des particularités régionales mais comme des «façons d’être et de faire», représentatives d’un État. Elles quittent ainsi la place qui leur était habituellement dévolue, celle de cultures secondaires et périphériques.
