Une cascade d’enfer, le nouveau polar de Christian Louis

Une Cascade d’enfer, un nouveau polar « sombre, très sombre », comme le qualifie son auteur rencontré à Mauléon Barousse, point de départ de ce dernier roman.

Après la Hache et le fusil paru en 2023 (il en est à sa troisième édition), voici donc le dernier opus de l’auteur commingeois Christian Louis, qui sera dans toutes les bonnes librairies à partir du 23 septembre. C’est son cinquième polar publié aux éditions TDO.

Pourquoi cascade d‘enfer ? « Un jeu de mots avec la cascade de la vallée du Lys. Cascade pour  accumulation de crimes. ». Le premier crime est découvert à Mauléon Barousse sur le petit îlot au milieu de la rivière Ourse.

Les violences faites aux femmes en thème principal

La quatrième de couverture, donne le ton. «La lieutenant de police Blandine Pujol et le journaliste Vincent Darbon sont confrontés à une vague de dégradations de symboles religieux, prémices d’une série de crimes ritualisés particulièrement sanglants qui horrifient la population des Pyrénées. » Et un peu plus loin : » Il leur faudra s’immerger dans les mythes et légendes pyrénéennes pour accéder à la vérité et se confronter à la douloureuse question de la violence faite aux femmes. Une véritable cascade d’enfers pour un thriller haletant riche en surprises. »

L’auteur va emmener le lecteur de la Barousse au Luchonnais, de Montréjeau au Couserans et même jusqu’à Campan et ses mounaques.

Dans cet ouvrage, trois thématiques sont évoquées : les violences faites aux femmes en est le thème principal, qu’elles soient psychologiques ou physiques avec le viol ou les coups. Le second thème, les mounaques évoquent les traditions pyrénéennes qu’on retrouve dans tous les romans de l’auteur. Et l’Ours qui tient également une place importante.

« Mon roman questionne sur les faits de société d’aujourd’hui

Des fausses pistes, du suspense, un rythme soutenu

Un constat concernant la violence faite aux femmes : dans le monde, une femme sur trois est victime de violence physique ou sexuelle – le plus souvent par un partenaire intime. Lorsque l’on prend en compte le harcèlement sexuel, ce chiffre est encore plus élevé.

L’ours. On ne le voit pas de la même façon, qu’on soit éleveur dans le Couserans ou intellectuel derrière son bureau à Paris. Les intérêts ne sont pas les mêmes.

Comme dans tous les romans de Christian, on retrouve des personnages typés, des portraits imaginaires.

« Dans ce polar, beaucoup de fausses pistes, de suspense. On ne découvre le dénouement que dans les dernières pages. Il n’y a pas de temps mort. J’ai écrit de courts chapitres pour que le rythme soit élevé

Dans tous ces romans, l’auteur s’attache à écourter les scènes de torture, même si elles sont nécessaires.

« Tout nouveau roman est un défi, on repart à zéro. Je suis en tarin d’écrire le prochain (près de 100 pages écrites à ce jour), et je pense déjà au suivant. »

Dédicaces :

Librairie presse à Aspet le samedi 28 septembre de 9h à 13h

Super U Gourdan Polignan, le samedi 12 octobre de 9h à 18h

Librairie presse Dumas à Saint Gaudens le jeudi 17 octobre de 9h à 13h

 

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