Reflets de peintures et de musiques fiévreuses à Créagire : Une bien belle soirée

La peintre Chilienne Marcela Stormesan & « Las marmotas de la muerte » ce vendredi 25 octobre à Créagire – L’image & le son dans l’émotion festive,
La peintre Chilienne Marcela Stormesan & « Las marmotas de la muerte » ce vendredi 25 octobre à Créagire – L’image & le son dans l’émotion festive,

La peintre Chilienne Marcela Stormesan & « Las marmotas de la muerte » ce vendredi 25 octobre à Créagire – L’image & le son dans l’émotion festive, une bien belle soirée !

L’exposition « La raiz » de Marcela Stormesan interpelle à plusieurs titres. L’étonnement réside dans l’expression à la fois très artistiquement travaillée de ces toiles comme d’une humanité paisible et poétique qui s’en dégage. La force des contrastes dans les tonalités colorées des toiles prennent de la consistance dans la description de ce pays la Patagonie, aidée dans cet exercice par une jolie traduction de l’espagnol caractéristique du Chili.

Les racines en sont l’encrage de cette inspiration, comme la charge affective expliquée par Marcela, chaque toile ayant un lien de partage avec des visiteurs qu’elle regrette à chaque fois de voir s’en aller après le temps de leur visite. Elle nous conte comment elle illustre sa Patagonie : « La Patagonie est une ébullition d’harmonies délicates qui bouleversent. Ce sont des eaux cristallines, une verdure infinie, et des détails qui enchantentJ’utilise la couleur et les émotions pour relier entre eux la faune, la flore et les habitants de ces contrées fabuleuses. ». Véronique interpelle un instant l’auditoire armée d’un globe terrestre, comme pour bien prendre la mesure de l’extraordinaire, le grand écart du Comminges avec la Patagonie. Et Marcela de rappeler « J’ai des amis dans le Comminges. Cette exposition est née de l’envie que nous avions de faire venir des tableaux ici. »

L’exposition est accessible tous les jours, jusqu’au 16 novembre

Téléphoner auparavant au 07 69 55 81 54.

La soirée s’est achevée festive après les échanges, avec « La marmotas de la muerte » aux rythmes ciselés des percussions, avec cette musique plaisamment envoutante par sa fluidité et la sensualité des mélopées évocatrices d’ailleurs colorés de l’Amérique du Sud.

 

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