Ils marchent sur Paris pour dire non aux vaccins géniques – Escale le 8 décembre à Saint-Gaudens

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L’arrivée des protagonistes de la marche blanche à Saint-Gaudens ce mercredi 8 décembre

Les deux marcheurs arrivent sur la place Jean-Jaurès vers 17 heures dans le froid et la pluie. Jean-Pierre le plus âgé avec ses soixante dix années paraissant plus en forme avec son sac de trente kilos alors que Michaël se plait à dire qu’avec ses quarante trois années il porte six-cent gramme. Il rappelle que Jean-Pierre autrefois a entrepris l’ascension de l’Himalaya.  Ils sont accueillis par les membres du collectif Liberté Comminges avec des croissants et des boissons chaudes, réfugiés à l’abri sous les arcades de la place.

C’est le moment des échanges avec quelques personnes venues exprimer leur soutien. Jean-Pierre évoque la marche précédente « La marche du réveil » qu’il a faite de Colmar jusqu’à Paris au Mont Valérien : « Nous avons fait cette marche avec des personnalités du monde médical, des docteurs, des chirurgiens, des professeurs, plein de médecins, des kinésithérapeutes  qui aujourd’hui n’ont plus le droit d’exercer pour leur refus d’adhérer à la politique vaccinale du gouvernement, leur refus de se faire vacciner ». « Par exemple le docteur Gautier qui est médecin depuis quarante cinq ans, du jour au lendemain il ne peut plus exercer ! ». « Une kiné-ostéopathe a dû fermer ces deux cabinets ». Michaël  à son tour : « Nous sommes entrés en dictature. Ce que je trouve dommage, c’est l’impression qu’à partir des quarante ans les gens se réveillent, mais que les plus jeunes sont dans leur bulle. On marche sur Paris, maintenant ça suffit, il faut arrêter cette prophylaxie de masse ».

PR : D’où tirez-vous cette force pour affronter ainsi les intempéries, qui plus est en plein hiver ?

Jean-Pierre : « Il y a des enfants et des petits enfants. On s’est battu pour moi, mon devoir c’est de me battre pour eux. Il est hors de question que l’on vaccine des enfants, avec un vaccin qui n’en est pas un, juste une expérimentation. Un enfant s’immunise naturellement. C’est déjà une question de principe, la question du choix éclairé. On injecterait à des enfants une substance expérimentale, alors qu’il apparait de plus en plus que ces vaccins ne servent à rien au regard des données comparatives! ».

PR : Est-ce que des représentants élus vous soutiennent à part Martine Wonner ?

Jean-Pierre : « Nous avons écrit aux députés, et avons d’excellents retours et d’autres sans réponse, mais on les empêche de s’exprimer. On pouvait espérer du côté des écolos, mais ils sont comme les socialistes, la prise du moindre risque dans la pêche aux voix. Ils sont juste bons sur le terrain comme pour l’action contre le projet forestier à Lannemezan ».

PR : Quelle est la finalité de votre parcours ?

Michaël : « Nous marchons sur Paris en convergeant avec d’autres marches blanches pour le reste on en parle pas. Il y a douze collectifs qui portent ce projet de marche sur Paris pour le rendez-vous du 16 janvier. La difficulté de notre action, c’est que l’on peut livrer toutes les sources les plus sérieuses, le recours aux propos des personnes compétentes et expérimentées, et  cette impression déconcertante que le débat est pollué par les divergences idéologiques ou religieuses, comme si le fait de se référer à un point de vue idéologique ou religieux faisait perdre l’entendement. Des années d’études et d’expériences balayées, décrédibilisées par le fait d’une appartenance religieuse. Alors qu’en fait nous sommes confrontés à un problème de sémantique. Ce n’est pas un vaccin, mais une thérapie génique qui ne devrait cibler que les personnes en quo-morbidité (diabète, obésité, âge avancé)»,

PR : Comment expliquez vous le fait d’être si peu audible ?

Michaël : «Nous sommes plein de bonne volonté, mais il y a des gens que l’on ne va pas arriver à « des- hypnotiser » de l’influence des médias. Ceux qui ont été happés par les médias, pris dans la trame médiatique, tu ne les atteindras pas ! Si BFM ne dit pas « C’est pas bon ! », ils ne vont pas y aller ! » 

Le collectif Liberté Comminges annonce le prochain rendez-vous hebdomadaire sur la place Jean-Jaurès ce samedi 18 décembre à 16 heures avec un point d’information sur les thèmes de la vaccination des enfants de 5-12 ans, et le cadeau de Noël du Président de la République Emmanuel Macron, soit la fermeture d’un service-et-demi à l’hôpital de Saint-Gaudens.

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