« Marie Tovelo », un pseudo pour se protéger malgré les années écoulées, se livre, vide sa « poche à rancœurs » pour se libérer et renaître LIBRE.
Elle a intitulé son roman « Mea culpa », mais est-elle coupable de quelque chose, à part d’avoir aimé ?
Son récit est vif, réaliste, parfois violent à l’image de son vécu. Car, hélas, c’est son ancienne vie qu’elle décrit.
« C’est l’histoire d’une femme simple, prise dans le tourbillon de la vie.
Un maelstrom qui, très rapidement, se transformera en cauchemar.
Sa tête vacillera et tout autour d’elle s’écroulera, tel un château de cartes.
C’est l’histoire d’une femme qui pensait que tout le monde était gentil et qu’on ne lui ferait jamais de mal.
C’est l’histoire d’une mauvaise rencontre.
C’est le cri d’une femme qui a grandi dans la douleur.
Ce sont les pleurs d’une mère séparée de sa fille.
C’est l’histoire d’une longue thérapie semblable à la traversée du désert.
C’est l’histoire d’une femme qui croyait que les faits divers n’arrivaient qu’aux autres, dans les journaux. ».
« Marie Tovelo » est née à Toulouse. Après des études littéraires, elle devient secrétaire de rédaction et maquettiste. Elle est également saxophoniste, peintre sur vitraux, poète et photographe à ses heures perdues.
Elle signe avec « Mea culpa » son premier roman aux Éditions Vérone. On peut se le procurer à la FNAC, à Cultura et surtout chez tous les libraires indépendants. Un second ouvrage est en cours d’écriture.
Les photos qui illustrent cet article nous ont été confiées par « Marie Tovelo », issues de ses albums personnels. Qu’elle soit remerciée pour la confiance qu’elle nous a témoignée.