Tandis que les «petits» sont en vacances, les travaux continuent dans leurs écoles, mais ce sont les grandes personnes qui améliorent les conditions d’études des très jeunes saint gaudinois. Le maire Jean-Yves Duclos a fait un point à la veille de la rentrée, accompagné des conseillers municipaux Josette Cazes, en charge de l’enseignement et de la vie scolaire, de Joël Guillermin, chargé de la sécurité et des travaux, de Frédéric Gelée, directeur des services techniques de la mairie.
Ce fut un bilan d’étape sur la 2ème tranche de travaux programmés dans le cadre d’un programme triennal d’investissement d’un million d’euros (2021-2023), dont le montant est pris en charge à hauteur de 60% par l’État et le Conseil départemental.
L’ensemble des travaux de plomberie sanitaire des groupes scolaires Pilat 1, Pilat 2 et Résidence sont réalisés ainsi que la remise à niveau des locaux de stockage au premier étage de l’école élémentaire Résidence. Les robinets thermostatiques et la pose de verrous de sécurité (en complément au dispositif attentat et anti-intrusion) sont en cours sur les différents sites. Des travaux de menuiserie extérieure avec la pose de nouveaux stores seront réalisés durant les vacances de Toussaint.
Ces travaux sont réalisés par des entreprises locales, avec le précieux concours d’architectes et celui des services techniques municipaux remerciés par Jean-Yves Duclos.
Par ailleurs, les écoles élémentaires ont bénéficié d’un plan de relance numérique de l’État, piloté par la municipalité, avec consultation des équipes pédagogiques, pour doter les établissements d’un socle numérique de base: vidéoprojecteurs interactifs, ordinateurs portables, mallettes pédagogiques. Coût de ce projet mené à terme: 100 000€ financés à 70% par l’État. Les maternelles ont été dotées dans chaque classe d’un vidéo projecteur et d’un ordinateur associé.
La municipalité réalise quelques 5 millions d’euros par an d’investissement sur l’ensemble de la commune (40 millions depuis 8 ans) avec des fonds propres et avec des subventions de l’État ou des collectivités territoriales. Jean-Yves Duclos précise: «la force d’une collectivité moderne réside dans sa capacité forte d’autofinancement et dans son aptitude à obtenir un maximum de subventions». Cette aptitude passe selon lui par la réalisation effective des travaux financés dans les délais annoncés (avec l’appui d’un service interne opérationnel), et aussi dans l’anticipation concernant les projets ultérieurs. Les projets relatifs aux années futures sont déjà en chantier.
