Communiqué de presse du 07 juin 2017 de Myriam CRÉDOT « Sans Parti Pris »
Législatives – 7ème circonscription de la Haute-Garonne
Myriam CRÉDOT, cette muretaine de 43 ans, avocate, mariée, mère de deux adolescents, présidente d’une association de défense du pouvoir d’achat des citoyens et conseillère municipale d’opposition connue pour ses positions tranchées et son franc-parler, entend jouer les trouble-fêtes en s’invitant aux législatives.
C’est une candidature « sans parti pris« , entendez par là « détachée des appareils politiques« , que Myriam CRÉDOT défendra dans la septième circonscription de la Haute-Garonne.
Elle ne se reconnaît ni dans l’euphorie qui entoure le parti En Marche, ni dans les querelle intestines des partis d’opposition. Elle veut garder une parole et les mains libres pour défendre au mieux les intérêts de la 7ème circonscription et de ses concitoyens.
« L’assemblée nationale vote nos lois. Mais elle doit aussi contrôler l’action du gouvernement. Si les Ministres et les députés appartiennent à une famille politique unique, il n’y a plus de garde-fou contre les risques de dérive de la politique mise en oeuvre. La France traverse une période de turbulence politique dont l’aboutissement est encore incertain. Dans ce contexte, il est capital de conserver des contrepouvoirs, sans tomber dans une opposition stérile. Pour un bon fonctionnement de nos institutions, il est important que le gouvernement soit contrôlé par des députés libres d’exercer leur esprit critique sans être tenus de suivre des positions partisanes. Mon indépendance vis à vis des appareils politiques est une force qui sera au seul service de notre territoire, de ses habitants et de notre démocratie » explique Myriam CRÉDOT.
Quant au contexte local, Myriam CRÉDOT relève que les partis historiques LR et PS ont déçu une grande partie de leur base électorale.
« Aujourd’hui, ils n’ont plus de colonne vertébrale et ne fonctionnent plus que grâce à quelques militants qui veulent rester fidèles à une étiquette malgré les postures mortifères de leur maison mère.
Quant au député sortant, Patrick LEMASLE, député PS et Maire de Montesquieu-Volvestre, il ne se représente pas et abandonne son fief sur un bilan calamiteux : M. LEMASLE a brillé par son inactivité au sein de l’Assemblée Nationale et s’est fait remarquer par une utilisation très égoïste de sa réserve parlementaire. Son héritage est aujourd’hui porté par deux candidates : Mme TEMPESTA sous l’étiquette PS, et Mme TOUTUT-PICARD, sous l’étiquette En Marche, adjointe au Mairie à Toulouse mais non soutenue par le maire LR de la Métropole, et dont la suppléante n’est autre que Mme HA MINH TU, suppléante de M. LEMASLE depuis 2007 et engagée au sein du PS depuis 1997 (secrétaire nationale, candidate à plusieurs élections et Conseillère générale en 2008). »
Concrètement, Myriam CRÉDOT reproche aux partis politiques de placer leurs intérêts financiers devant l’intérêt des citoyens, et notamment des contribuables.
« Tous les mouvements veulent faire croire qu’ils ont changé ou qu’ils sont différents, mais en réalité ils poursuivent un but commun : assurer leur subsistance grâce au financement public. Comme le PS, les LR ou le FN avant eux, La France Insoumise et En Marche se sont empressés de demander à être inscrits sur la liste des groupements politiques demandant à recevoir des financements publics. Ce microcosme politique nous coûte plus de 60 millions d’euros chaque année. De l’autre côté de la caisse publique se trouvent des familles ou des entreprises oppressées par les charges fiscales et sociales. Le mépris des partis politiques pour le prix humain de l’impôt est indécent. »
La candidate « sans parti pris » revendique une ligne politique claire et cohérente.
Elle défend une moralisation « non-négociable » de la vie politique, et prône le renforcement des missions régaliennes de l’État (sécurité, justice et diplomatie), une gestion très rigoureuse de l’argent public, un arsenal juridique protecteur des plus faibles (enfant, vieillesses, maladie, handicap,…), la coexistence des zones rurales et urbaines avec l’amélioration des services de proximité via les municipalités, et un « monde de liberté » axé sur la simplification des normes, la valorisation du fruit du travail, la maitrise de la concurrence européenne et une immigration maitrisée et choisie.
« La clarté des lignes que je défends contraste avec le brouillard politique dans lequel baignent les autres candidats. Mes concurrents professent la « bonne parole » du parti qui les porte et dont ils devront suivre les directives très docilement. Ils ne seront que des représentants d’un parti politique au sein de votre circonscription. Je veux être la représentante de notre circonscription au sein de l’Assemblée » conclut Myriam CRÉDOT.