Nous reproduisons, ci-dessous, in extenso, la lettre de candidature que nous a fait parvenir Arnaud Dore.
Sa liste : Gourdan Polignan à venir – l’expérience à votre service.
« Chères Gourdanaises, chères Gourdanais,
Le 15 mars 2020, vous aurez à choisir une équipe municipale qui aura pour mission de conduire et d’engager la vie de notre cité pour les six prochaines années.
Le projet d’une commune repose sur un projet cohérent et réaliste.
Il doit être conduit par une équipe compétente, unie et apolitique, composée de personne représentant différentes couches sociales de la commune mais toutes, animées de la volonté de vous servir.
Très prochainement vous sera présenté le programme d’intérêt communal, lentement élaboré avant de prendre forme, par un groupe uni qui y travaille depuis plusieurs mois et qui défendra avec intelligence et clairvoyance l’intérêt de chacune et chacun d’entre vous.
Totalement Commingeois de cœur et Gourdanais depuis l’âge de 21 ans, je n’ai jamais quitté le village. Comme certains, j’ai toujours été attentif à la gestion et à son développement.
Je saurai rester à l’écoute permanente de mes concitoyens (es), ainsi que de leurs préoccupations les plus diverses.
Fort de ma longue expérience publique, il me faudra surmonter ce qui légitimement divise, aller à l’idéal, comprendre le réel et assumer les obligations journalières qui s’imposent.
Après étude approfondie et recherches de financements auprès des partenaires avec qui j’ai longtemps travaillé, j’orienterai les différents projets nécessaires au développement de notre commune, mais compatibles avec sa capacité financière pour qu’ils soient menés correctement à leur terme.
Pour échanger avec vous sur notre programme, nous vous proposons deux réunions publiques qui auront lieu les 27 février et 13 mars à 20h30, salle des associations. C’est cordialement que nous vous attendons à ces deux rencontres dont les invitations écrites ont été notifiées à M. le Maire et M. le premier adjoint de notre commune.
Soyez assurés (es) de notre entier dévouement.
A. Dore »