Il est de coutume d’adresser ses vœux jusqu’au 31 janvier de la nouvelle année. Or durant cette période on peut en recevoir des dizaines ou des centaines et force est de constater que certains passent quelque peu inaperçu ou finissent carrément aux oubliettes des conventions.
C’est fort de cette conviction et en vieux sage de la politique que Gérard Roujas président du pays sud toulousain a décidé de présenter ses vœux au mois de février. Il souhaite les adresser à tous les acteurs du territoire, habitants, associatifs, privés, publics, aux élus et aux partenaires du Pays Sud Toulousain (institutionnels, tels que l’Europe, L’Etat et ses agences, la Région, le Département) mais également à l’ensemble de ses partenaires techniques.
« Je n’oublie pas non plus l’équipe technique du Pays Sud Toulousain dont je veux souligner le professionnalisme au service de notre territoire, ainsi que le conseil de développement, organe représentatif de la société civile dont un renouveau spectaculaire s’est amorcé malgré le contexte sanitaire difficile. »
Gérard Roujas aime à citer cette citation de Voltaire qui vole actuellement dans l’air du temps « J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé ».
« Que cette citation soit votre pour cette nouvelle année 2021 » nous précise Gérard Roujas dans un clin d’oeil original à la morosité ambiante.
Rappelons que le pays est un territoire cohérent sur le plan géographique, culturel, économique et social, à l’échelle d’un bassin de vie ou d’un bassin d’emploi. Celui du Sud Toulousain a construit son projet politique dès 2003 en accord avec l’ensemble des communes et communautés de communes. C’est la Charte de Pays, approuvée en 2004, qui restera l’acte fondateur du territoire et qui a donné lieu à plusieurs contractualisations avec les partenaires.
On ignore souvent que le Pays Sud Toulousain n’est pas une collectivité locale. Il ne prélève pas l’impôt et dispose d’un fonctionnement proche de celui d’une entreprise ou d’un bureau d’études.