Edito du 4 avril 2016
Inexorablement, nous entrons dans la campagne présidentielle et son lot de postures, de promesses faites dont on sait qu’elles ne seront jamais tenues, de démagogie les plus sophistiquées, d’idées nauséabondes qui reposent sur les peurs, de démonstration d’envie de pouvoir personnel. Le législateur, sans le vouloir, a abimé la fonction présidentielle en ramenant le septennat à un simple quinquennat. Nous n’avions pas besoin de cela pour augmenter la défiance vis à vis du monde politique. Rappelons nous…