Carbonne : Et si un jour il disparaissait !
C’est en voulant se garer que l’on pouvait voir immédiatement que l’affluence était là. Il fallait marcher pour atteindre ce lieu magique où chacun sourit et échange quelques mots avec délectation. L’impression que l’on a laissé les difficultés dans le véhicule garé tellement loin qu’on ne souvient même plus où il peut être.