Installation de Chimirec Socodeli à Muret
L’association « Muret et moi » s’inquiète de la situation actuelle du projet d’installation de Chimirec aux portes nord de Muret.
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L’association « Muret et moi » s’inquiète de la situation actuelle du projet d’installation de Chimirec aux portes nord de Muret.
Quand les opposants à l’implantation de l’usine Chimirec ont été reçus à la sous-préfecture de Muret, le préfet avait déjà signé ! L’association ENVIEMUR avait été conviée vendredi 28 en fin d’après-midi à une réunion ce lundi 1° juillet à 17 heures.
L’association Enviemur vient d’être contactée le vendredi 28 juin en fin de journée pour une réunion le lundi 1er Juillet à 17h avec Madame le sous-préfet de Muret. Dans la foulée, l’association apprend par son réseau que la préfecture va autoriser CHIMIREC à exploiter le site de Muret, pour le stockage et le traitement de déchets dangereux. Elle appelle donc à un rassemblement devant la sous-préfecture de Muret, lundi 1er juillet à 18h pour montrer notre opposition au projet.
Pierre Daunes est tout désemparé en venant déclarer à la mairie, une décharge sauvage dans un de ses champs.
L’implantation d’un dépôt Chimirec à Muret est revenue à l’ordre du jour du conseil municipal ce 7 Juin.
Après un premier vote négatif le 9 novembre 2017 qui avait été adopté à l’unanimité pleine et entière, une 2° enquête publique a été organisée, le conseil d’Etat ayant réformé l’autorité environnementale.
Révision de la délimitation de la zone vulnérable aux pollutions par les nitrates d’origine agricole sur le bassin Adour-Garonne.
En ce mois de novembre 2017 : Un an déjà que notre association a vu le jour et que la mobilisation des habitants, commerçants, élus ainsi que la pétition qui a recueilli près de 5000 signatures ont stoppé net le dépôt de dossier du projet en Préfecture…
L’Association « Alerte Usine Eaunes31 » est toujours en alerte et vigilante. C’est donc avec un souci d’organisation qu’un groupe relais de « Alerte.Usine » a été créé à Lagardelle par des Lagardellois.
« Les résultats furent une véritable surprise », explique l’auteur principal de l’étude, le professeur Jan Zalasiewicz, de l’université de Leicester. « Nous savions que les humains produisaient des quantités croissantes de différentes sortes de plastique — de la Bakélite jusqu’aux sacs en polyéthylène en passant par le PVC — depuis 70 ans, mais nous ne savions pas les distances qu’il avait parcouru sur la planète. Il a non seulement flotté à travers les océans, mais s’est enfoncé dans les parties les plus profondes du plancher océanique. Ce n’est pas un signe de bonne santé planétaire. »
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